lundi 18 septembre 2023

Journées du patrimoine

 Les journées du patrimoine ont débutées, vendredi 15 septembre, par la conférence de Jacques MILLE Géographe, à la bibliothèque, sur les cartes et cartographie d'Auriol et ses environs :





Puis se sont poursuivies, samedi 16 et dimanche 17 septembre par le programme de balades et visite du musée par 80 visiteurs :








lundi 11 septembre 2023

Forum des Associations 2023 : Auriol

Nous vous remercions d'être venus nombreux lors du Forum des  Associations, renouveler votre adhésion à l'ASPA.



mercredi 12 juillet 2023

Cimetière d'Auriol : Sauvons nos tombes

 Les membres de l'ASPA ont débuté un travail de mémoire en photographiant (avec accord de la Mairie) les concessions qui ont été identifiées comme en état d'abandon et qui seront levées en 2024.

Nous identifions les noms indiqués et les personnes qui ont œuvré pour la grande Histoire et la petite histoire d'Auriol. N'hésitez pas à nous rejoindre...

Lien pour connaître les concessions concernées : https://www.gescimenet.com/auriol-cimetiere-13390/sepultures-concessions-abandon.html




samedi 8 juillet 2023

BONNES VACANCES

Nos activités reprendront en septembre prochain.

D'ici là, nous vous souhaitons d'excellentes vacances, un très bel été et espérons vous voir revenir en pleine forme.

vendredi 2 juin 2023

SORTIE DU 3 FEVRIER : CORRENS

Sur le chemin de Gayassu

« Au fil de l’histoire

 Les abords de Correns sont occupés dès le néolithique. La Grotte de Sous-Ville, à quelques centaines de mètres du village, témoigne d’un habitat sous roche utilisé du cinquième au deuxième millénaire avant JC.

Cependant, Correns naît véritablement au Xe s. lorque la famille signeuriale des Châteaurenard de Brignoles donne à l’abbaye de Montmajour, près d’Arles, les terres de Correns. La communauté bénédictine de Montamajour fait alors bâtir à Correns un prieuré « Sainte marie » sur les lieux dits actuels de Sous-Ville et d’Ascaou. Une église est bâtie au XIe s. et une communauté villageoise s’organise autour de ce prieuré. Vers le XIIIe s. un château féodal est érigé. Au cours des siècles qui vont suivre, le village va se développer. Il s’étend hors des remparts au XVIIe s.

Au XIXe s. la population diminue considéralement. Aujourd’hui la qualité de vie préservée est un atout majeur. L’économie locale se fonde principalement sur la vigne, le vin blanc très réputé, l’huile d’olive et l’artisanat. »

(Texte extrait des panneaux d’information de la ville)


 

       

« La porte St germain

Au moyen-âge, des remparts protègent le Fort Gibron et les habitations qui le ceinturent. Cette porte en plein cintre datant du XIVe s. était équipée d’une herse . Elle est appelée « porte Saint Germain » car la tradition orale rapporte que le Saint évêque Saint Germain l’Auxerrois l’emprunta en revenant d’un voyage à Rome. Il est devenu le Saint patron de la commune de Correns. »

 

« Le fort Gibron

 

« Les moines de Montmajour, installés au prieuré « Sainte Marie », à huit cents mètres du village actuel(N-O) sont aussi seigneurs de Correns et manifestant leurs droits en faisant ériger  cette fortification au point culminant d’une butte. Peu à peu les habitants quittent les quartiers de Sous-Ville et d’Ascaou pour se regrouper autour de ce fort.

Le fort Gibron se compose d’un donjon, d’anciennes granges et d’une tour horloge postérieure à l’ensemble médiéval.

On sait qu’en 1567, le fort est toujours gardé par une petite garnison. Par la suite il va être divisé en divers corps d’habitations. En 1790 il est désigné « maison seigneuriale avec auditoire de justice ».

 « Il subit au cours des siècles divers aménagements. La commune aujourd’hui propriétaire du monument a organisé une important campagne de restauration en 2008 »

(Les Textes sont extraits des panneaux d’information de la ville). 

 

Sur le chemin qui mène vers la grande écluse et l’enclos de Gayassu…




 

Notre balade nous fera découvrir un espace de colline où ont été aménagés des restitutions de four à chaux, cabane de charbonniers, norias, et apiès.


Une très agréable balade dans des paysages enchanteurs !

texte : Sylviane  Photos : 






vendredi 31 mars 2023

SORTIE du 27 Mars 2023 : Sentier du Badaïre au Parc départemental de l’ARBOIS

Belle balade dans le parc départemental de l’Arbois ce lundi  27 mars malgré un petit mistral.

Les iris de garigue en pleine floraison.

 Sentier du Badaïre : 12 km avec petits détours pour voir le canal de Marseille et les fermes de la Vautubière et celle de Mion.

Le Canal de Marseille construit entre 1839 et 1849 amène les eaux de la Durance jusqu’à Marseille en traversant 21 communes sur 170 km. Il a nécessité la construction de 16 acqueducs, dont celui de Roquefavour. Le barrage du Réaltor construit entre 1858 et 1867 consitue une retenue d’un million de m³ d’eau.

 

La ferme de Mion était la plus imposante avec ses dépendances, cochonniers, bergeries et annexes. 


L'activité agricole y a perduré jusqu'en 1960, date de la vente de l'ensemble du Parc à une société de chasse.


La ferme de Vautubière la plus petite produisait des céréales, grâce à une belle source.

 


 


Arrêt incontournable au ROCHER, à l’aller et au retour.



Le ROCHER une construction métaphorique, à l’image d’un vieux sage, il nous raconte les paysages, nous invite à prendre un temps d’observation, à contempler des éléments visibles.

 


Belles vues sur la montagne de Sainte Victoire, les cheminées de Gardanne, le lac Réaltor, le Pilon du Roi de Mimet, sans oublier la ligne du TGV !


Les pylônes-tête de chat  de la ligne à haute tension 400kV Réaltor- Tavel transportent l’énergie électrique qui approvisionne la métropole, notamment depuis les centres de production de Gardanne et de St Chamas

   

Une belle balade !  à refaire une autre année en avril pour voir les asphodèles fleuries et peut être les aigles ?

texte et photos : Sylvie et Eliane + panneaux d'information du parc