mercredi 24 novembre 2021

BUOUX le 7 octobre 2021

Notre groupe de 12 personnes se retrouve devant l’entrée d’accès au site. Nous découvrons sur notre chemin des sarcophages creusés dans la pierre.

 


Nous sommes impressionnés par le plus vaste abri naturel de la région (800  m2). Cet abri sous roche a été occupé à différentes époques, le chemin passe d’ailleurs dessous. Sur les parois il existe des traces d’ancrage permettant de recevoir des poutres afin de fermer la baume. Une lame de silex de 52 cm permet de penser à une occupation dès le néolithique.


Puis nous prenons le chemin d’accès au fort qui a été habité et fortifié très tôt de la protohistoire au XVIIème siècle. Nous retrouvons les traces du passage des celto-ligures jusqu’aux Vaudois.






Troisième et dernier rempart où l’on remarque les meurtrières.

 






Puis nous nous sommes séparés en deux groupes. Un groupe a rejoint la sortie par un escalier “secret” qui reste encore une énigme.  Il est constitué de 60 marches creusées à même la falaise. L’autre groupe est revenu sur ses pas.

 


Nous avons pris notre repas de midi près du pont Julien qui enjambe le cours du Calavon situé sur l’antique Via Domitia  après les gorges de Roquefure. Cet itinéraire reliait Rome à la  péninsule Ibérique en traversant le Sud de la Gaule.

 


Après notre pique-nique nous avons rejoint le village de Goult.

Nous avons découvert un site paysager réhabilité par l’APARE .

 C’est une association qui a réalisé un conservatoire des terrasses en cultures afin de garder en mémoire le savoir-faire pour construire des murs en pierres sèches et des bories. Ces terrains biens exposés, à l’abri du vent sont propices à la culture de l’olivier et de l’amandier.




texte : Geneviève   photos : Geneviève J.Claude

 

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