mardi 17 décembre 2013

Les oratoires

 
 
On en compte encore une quarantaine sur Auriol. Certains d'entre eux ont malheureusement disparu.

 

 En voici quelques uns :
 
St Eloi


St Eutrope
 

Ste Madeleine
St Joseph









 
 

   
 

St Claude
St Laurent






                                        







Notre Dame





 


SI CE SUJET VOUS INTERESSE VOUS POUVEZ VOUS PROCURER L'OUVRAGE AU LOCAL DE L'ASSOCIATION ( MOULIN ST CLAUDE  2ème étage) 
    Permanence tous les premiers vendredis du mois de 9h à 11h
Contact téléphonique : 06 89 72 35 20


dimanche 15 décembre 2013

Quelques personnalités célèbres

Parmi les plus illustres on peut citer :
 
Le botaniste Charles Plumier, La famille LAGET de BARDELIN (Joseph Laget, natif d’Auriol épousa en 1574, Jeanne Bardelin, fille ainée d’André Bardelin. Leurs descendants ont perpétué le nom « Laget de Bardelin » jusqu’à ce jour),  GUIGOU Jean, Joseph, Pierre (Evêque, né à Auriol le 1er décembre 1767. C’est de lui que Louis XIII aurait dit «  voilà le plus bel évêque de mon royaume »), MARTEL Anicet (Né le 17 avril 1770 à Auriol. Il a assassiné Jean Baptiste d’Albertas de Gémenos), MARLOY Clair, Paul, Jean-Baptiste (Il a étudié la flore et les insectes de la Ste-Baume et de la vallée de St Pons), BARGES Jean, Joseph, Léandre ( Né à Auriol le 27 février 1810, dans la ruelle allant de la placette à la rue Salomon, enterré à Auriol en 1896.Il participa activement à faire connaître et étudier le trésor d’Auriol), ALBANES Joseph, Mathias, Hyacinthe (Né et enterré à Auriol. Son histoire d'Auriol n'est jamais parue), l’Abbé J-B FOUQUE (1851- 1926), Les félibres Louis GABRIEL (4/3/1870 - 1910) Vicaire de St Théodore à Marseille, né et enterré à Auriol et LESCURE Félix, Les frères BOSQ (Louis Charles 1783-1862 et son frère Paul Jacques 1785-1866. Ils ont rédigé de nombreux écrits dont beaucoup relatifs aux coutumes et traditions du village d’Auriol), BOSQ Théophile et BOSQ Paul (Bosq Théophile  et Bosq Paul, son fils, sont à l’initiative de la bibliothèque populaire d’Auriol), Joseph MARTIN-DUBY ( Né en 1898 enterré à Auriol en 1975. Il a légué des œuvres d’art au Musée d’Auriol qui porte son nom), Pierre PASQUIER (Gouverneur d’Indochine. Mort en avion en 1934, pour l’inauguration de la ligne Paris-Saigon).  


L'abbé Fouque


Albanes Joseph


 
 Le félibre Louis Gabriel
 

Personnes ayant marqué la vie auriolaise :
 

Augustine Dupuy : Sage-femme : 1861-1922 . La rue du Musée Martin Duby porte son nom.


Claire Dauphin :
Institutrice, directrice d’école maternelle. Elle a donné son nom au 4ème groupe scolaire auriolais.
 
La famille Bérenguier :
Entreprise Bérenguier (1863): menuiserie, forge, atelier de mécanique.
Marcelin Bérenguier : charpentier
Constant Bérenguier : son fils, qui crée l’atelier de mécanique. Fabrication des engins de pompage : norias et éoliennes.


Si nos recherches vous intéressent, venez nous rejoindre
au moulin St Claude au 2ème étage 
Permanence tous les premiers vendredis du mois de 9h à 11h
Contact téléphonique : 06 89 72 35 20


jeudi 12 décembre 2013

L'ASPA au musée Monticelli

Sortie de l'ASPA au Musée Monticelli
le 5 décembre 2013
Le fortin de Corbières

Bâti en 1861 et destiné à la surveillance des embarquements et débarquements des navires, le Fortin de Corbières est aujourd'hui un lieu d'exposition.
Situé en front de mer de la rade de l’Estaque, il  permettait la surveillance des embarquements et débarquements des navires de commerce. A l'état de ruines, avant sa réhabilitation décidée par la Ville de Marseille propriétaire des lieux, il a depuis février 2010 vocation à recevoir des expositions. C'est, en effet, l'association Adolphe Monticelli, grâce à une convention d'autorisation temporaire d'occupation, qui propose dans les trois salles(deux au rez-de-chaussée, une à l'étage) une exposition des oeuvres du maître marseillais de la peinture provençale ainsi que des expositions d'art contemporain .
 
Source : Site officiel de la ville de Marseille ; Découvrir Marseille Patrimoine et monuments .
http://www.marseille.fr/sitevdm/jsp/site/Portal.jsp?  document_id=7833&portlet_id=789
 

Adolphe Monticelli est né à Marseille le 16 octobre 1824 . Enfant naturel il est mis en nourrice chez d'humbles cultivateurs à Ganagobie .Jusqu'à ce qu'il retourne à Marseille avec ses parents , à l'âge de 11 ans, il ne reçut aucune instruction hormis quelques notions religieuses .

En 1838 il est pensionnaire à l'institut REY , 27 rue Thierry ( ancienne rue des Petits Pères) qu'il fréquente avec succès . Il fait la connaissance de Félix ZIEM et de Léon CHAVE .

Entre 1842 et 1846 il fait un apprentissage de droguiste à la Maison Pinatel Frères , un stage qui lui servira plus tard dans l'élaboration chimique de ses couleurs. Il a fréquenté l'école de musique de Marseille et s'est inscrit à l'école Municipale gratuite de dessin de Marseille dirigée par le peintre Augustin Aubert . On y enseigne exclusivement le dessin, ce n'est qu'en 1878 après une pétition des élèves que fut enseignée la peinture . Monticelli obtient en 1846 le premier prix du modèle vivant .

Il part à Paris en 1847 et devient l'élève de Delaroche puis voyagera entre Paris et le sud de la France avec pour seuls bagages ses couleurs et ses pinceaux . En 1856 il rencontre Ricard, Corot , Troyon, Daubigny , Courbet , Manet , Guigou et Diaz qui lui donnera le goût des scènes orientales .

En 1865 il reçoit de Napoléon III la commande d'une décoration pour le palais des Tuileries .

En 1871 il retourne définitivement à Marseille . En 1878 il fait la connaissance de Cézanne , les deux hommes peindront des vues de l'Estaque.

En 1885 , à la suite d'une attaque il est frappé de paralysie ne laissant libre que ses yeux et son cerveau . Il décède le 29 juin 1886 , entouré de ses amis.

Source : Panneau salle d'exposition du musée indiquant « Archives Galerie Marc Stammegna »


 

Les fours à chaux


Rudimentaires dans leur majorité, aménagés parfois à proximité des chantiers de construction, utilisant la morphologie du terrain et les matériaux naturels (calcaire, bois et eau), leurs restes parsèment encore nos collines. Ils étaient bien souvent rapidement abandonnés dès la fin de la fabrication de la chaux.

Le "Rouge d'Auriol" et son exploitation


Il ne s’agit pas de vin comme on pourrait le penser, mais d’un minéral bauxitique, à la chaude couleur brune. Il était extrait du sous-sol par des puits ou des galeries.  Il a permis à Auriol d'acquérir une grande renommée grâce à ses fameuses tomettes.





PROCHAINEMENT  
VOUS POURREZ VOUS PROCURER L'OUVRAGE, EN COURS D’ÉDITION,
AU LOCAL DE L'ASSOCIATION.

dimanche 8 décembre 2013

Les cheminées


Dans le ciel d’Auriol, leurs fumées signalaient la présence de nombreux établissements industriels utilisant la force motrice de la vapeur. Fragiles dans leur hauteur, leur préservation sécurisée est difficile et coûteuse. Reste la possibilité d’une évocation… partielle.
 
                                                             
         La cheminée Négrel à l'origine 

La partie restante

La glacière des Encanaux


                 Inauguration de sa restauration
           ( le 7 Juin 2013)


À l’entrée du vallon des Encanaux, sur le chemin d’Auriol à la Sainte Baume par le vallon des Infernets, elle témoigne de l’importance que revêtait, au début du 18ème siècle, le commerce de la glace vers les villes de Marseille et d’Aix. Récemment restaurée, elle illustre l’histoire peu connue des glacières d’Auriol.

 
 
SI L'HISTOIRE DES GLACIERES VOUS INTERESSE VOUS POUVEZ VOUS PROCURER L'OUVRAGE AU LOCAL DE L'ASSOCIATION ( MOULIN ST CLAUDE  2ème étage)
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Les fours à cade


Ils sont disséminés dans les collines, là où poussent les genévriers oxycèdres ou « cade-picant ».


                                                                    
 
Les « enguentiè » en tiraient la précieuse huile de cade. Ce sont surtout des vestiges de ces fours que l’on retrouve car les briques réfractaires de leur jarre étaient toujours récupérées en vue d’une nouvelle exploitation.

Les norias


Creusées dans les alluvions de l’Huveaune et de la Vède, elles permettaient une bonne irrigation des cultures maraîchères. Devenues obsolètes, certaines sont encore plus ou moins conservées ; mais nombre d’entre elles ont disparu sous la pression immobilière et après raccordement des champs cultivés au Canal de Provence.


 
 
 
 
 
 
 
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Les restanques

Ce sont des terrasses ( en provençal "bancaou" ) conquises sur les pentes souvent arides des collines. Elles demandaient un travail considérable et la maîtrise d'une technique éprouvée de l'usage de la pierre sèche.
Elles permettaient de cultiver, sans arrosage, des vignes, des oliviers, des pois-chiche, céréales....


Elles portaient parfois des abris sommaires et temporaires : les cabanons ou bastidons.

Ces terres de culture gagnées sur la forêt et autres terres en friches dites terres gastes ont permis aux populations d'éviter les risques de disette. Ce fut le cas en Provence à partir du XVIIIème siècle. A cette époque l'augmentation démographique et surtout les grandes famines liées au refroidissement climatique et aux épidémies obligèrent à revoir l'organisation agricole.